par coriolan » 25 Juil 2010 20:03
Mes chers amis, bonjour ! Comme disait l’aimable Lucien Jeunesse, et pardonnez-moi de vous réveiller pendant vos vacances.
Ca y est, je renais, je reprends goût à la vie. Mon opération (1) n'est plus qu'un souvenir et la pseudo dépression qui suivit touche à sa fin et ce, si je puis dire, grâce à Dieu ! Sans blague...
Désabusé, je feuilletais sur mon ordi quelques pages de Google quand soudain je tombai en arrêt sur le texte suivant " Christien Biblique - Liste des forums27 avr. 2010 ... Un forum pour qui la Parole de Dieu est la seule autorité." Tu me connais, ça n'a fait qu'un tour : sous couvert de la Bible, ne serait-ce pas une montée en puissance quoique discrète de l'islam ? Une seule façon d'en savoir plus : s'inscrire sur ce forum et voir de quoi il en retourne.
Sacrifiant mon cher Lexicaduc et même mon recueil d'histoires, je m’inscris donc et me présente en essayant d’être le plus précis de ma réalité, voir ci-dessous. Ce post est du 1er mai :
Je viens de lire les quelques présentations ci-dessous et franchement, je ne me sens pas très bien de devoir vous avouer que je suis agnostique. Je ne dis pas 'athée' parce que je ne crois pas à l'athéisme ; tout homme a dans son coeur un espoir d'éternité qui doit bien avoir son germe quelque part. De formation chrétienne, j'ai cru mon enfance durant et me suis éloigné de Dieu non pas par négligence, au contraire, pour l'avoir trop cherché. Et cherché seul.
J'ai été successivement rosicrucien, témoin de Jehovah, mécréant entre diverses crises de mysticisme, mais toujours convaincu et passionnément fouineur jusqu'au doute puis au reniement de ce que je venais d'adorer. Et puis j'ai réinventé Dieu, mais en dehors du Dieu révélé. Ce fut un long et beau parcours.
J'ai exposé ma théorie sur mon forum Exodoxe.fr > Tribunes de Coriolan, mais comme au cours des échanges certains commentaires m'ont ébranlé et qu'une remise en cause n'est pas à craindre, j'en ai l'habitude, j'ai décidé de venir me frotter à vous non pas pour vous convaincre que vous êtes dans l'erreur mais pour qu'éventuellement vos arguments me convainquent, moi.
Ce n'est donc pas le loup dans la bergerie, mais ce n'est pas non plus le retour de la brebis égarée. C'est le curieux de toujours qui cherche... Je dois vous avertir toutefois que je suis coriace. A vous de voir si je serai grata ou non grata, je resterai alors ou je partirai.
Sur l'ancien forum j'étais en relation récente avec une dénommée 'Pétunia', je crois, qui m'avait laissé un message de 5 pages, j'aimerais qu'elle se manifeste ici et qu'elle réédite son message afin de me permettre de lui répondre. Il s'agit d'un texte sur l'existence de Dieu. Pouvez-vous la joindre je n'ai pas eu le temps de noter son mail. Ainsi que vous le voyez je suis prêt à en débattre et plus que prêt puisqu'en l'occurrence je devance mon interlocutrice.
Je ne rapporterai pas ici ce texte qui a paru sur leur ancien forum (2), mais dont j’ai noté certains points essentiels : (en italique, les texte en question, de Pierre ODDON, en caractères normaux, mes réponses.)
Voici donc ce que je répondis à cette chère Pétunia suite au texte de P. Oddon mais dont, vraisemblablement elle n’avait pas compris le moindre mot…
1- En préambule je voudrais dire que le thème de l’existence de Dieu peut être appréhendé de 2 matières différentes.
a.) Approche subjective. Oui Dieu existe, je le crois, je le sais, je le sens, je l’expérimente. Oui, nous avons une révélation de la part de Dieu, c’est la Bible. (…)
2- Approche objective. Si Dieu existe et si la Bible est la révélation concrète de sa pensée nous devons trouver des traces et des évidences de l’existence de Dieu et de sa révélation, celles-ci étant accessibles à tous les hommes.
L’approche objective du problème nous impose de considérer 2 hypothèses : soit Dieu existe soit Dieu n’existe pas.
Il y en a même une troisième : soit Dieu existe autrement que ce qui est révélé dans la Bible (livre que je relève dans l’approche subjective aussi bien qu’objective, ce qui m’amène à penser que la Bible est pour vous l’outil indispensable avant tout examen du sujet…). Je ne conteste pas la Bible en tant que recueil partiel d’Histoire, et de sagesse moyen-orientale d’une époque ; je la conteste en tant que livre révélateur d’un Dieu créateur, c’est-à-dire dans le premier livre du Pentateuque. Et, pour répondre plus précisément, je dirai que dans ce premier livre contestable on ne peut trouver aucune trace hormis l’allusion au déluge. Mais on retrouve ce cataclysme dans toutes les religions ancestrales tant indiennes qu’amérindiennes, ce n’est donc plus une preuve, c’est le rapport historique d’un fait divers.
Si Dieu existe, j’accepte que je ne peux ni le comprendre ni l’expliquer et que je ne peux le connaître que s'il veut se faire connaître à moi.
Ce qui me laisse à penser – alors que je le cherche depuis si longtemps ! – que si je ne le connais pas, c’est qu’il ne le veut pas ! Cette ségrégation m’est intolérable… Il ne pouvait pas a priori me rejeter.
De grands hommes de science ont été convaincus : Sir Isaac Newton a pu dire : « En l’absence de toute autre preuve, la considération de mon pouce suffirait à me prouver l’existence de Dieu. »
Plus récemment le professeur Alfred Kastler, prix Nobel de physique, écrivait : « L’idée que le monde, l’univers matériel, s’est créé tout seul me paraît absurde. Je ne conçois le monde qu’avec un Créateur, donc un Dieu. Pour un physicien, un seul atome est si compliqué, si riche d’intelligence, que l’Univers matérialiste n’a pas de sens. »
Newton a raisonné avec l’intelligence de son temps ! Quant à Kastler qui dit :
"L'idée que le monde, l'univers matériel, s'est créé tout seul me paraît absurde" Evidemment s’il envisage l’apparition spontanée de l’univers tel que nous le connaissons actuellement, c’est effectivement absurde mais une vision quantique amènerait un jugement totalement différent. L’univers, ce n’est pas ce que nos yeux d’homme voient…
Si Dieu n'existe pas : Je suis obligé de croire que j'existe par hasard, grâce à un processus évolutif qui, miraculeusement, ne partant de rien aboutit à un chef d'oeuvre
« Partant de rien est le problème » Votre ‘ Rien’, c’est quoi ? C’est l’absence totale de ce que nous connaissons. Mais ce n’est pas l’absence totale de ce que nous ignorons… Je peux dire qu’il n’y a RIEN si je ne vois pas ce que je suis censé voir, mais je le dirai aussi, à tort, en l’absence de ce que j’ignore, ce qui échappe à mon entendement. ‘Rien’ est une vue de l’esprit mais pas de la raison.
« Chef d’œuvre » aussi est une vue de l’esprit. « JE » juge ce qui l’entoure et dont il est issu, le jugeant par rapport à lui, aussi bien quant à sa conception, à l’harmonie universelle qui fait qu’il se sent bien, que c‘est beau, agréable, tout cela lui semble être la moindre des choses puisque ‘JE’ et l’univers sont de la même essence bien que ce dernier soit prodigieusement plus vaste. Ce n’est même pas l’adaptation naturelle au milieu, c’est sa reconnaissance native et éblouie ; mais avec l’accoutumance, il n’y a vraiment pas de quoi s’étonner…
Avez-vous déjà constaté que les choses s'amélioraient par elles mêmes lorsque vous les laissiez à l'abandon? Moi pas!
Moi si ! Le maître mot est le TEMPS. Le temps érode tout (vous m’auriez vu à vingt ans ! ). Mais l’érosion, c’est quoi sinon la transformation d’un état en un autre. L’usure est utile, nécessaire. En outre, ce sont nos yeux qui jugent de l’évolution des choses à l’état brut, pas notre raison qui elle constate que la mort de la chrysalide voit la naissance du papillon. La mort est sans doute la seule étape au monde qui vaille vraiment la peine d’avoir vécu. Cette dégradation ultime (pour le vivant que nous connaissons) mérite toute notre attention.
toute loi implique un législateur
Une loi écrite, oui ; une loi naturelle, non.
Quant à l’athéisme, je n n’y crois pas non plus au motif que l’homme est trop imbu de lui-même – du fait de sa capacité de penser, pour qu’un désir d’éternité, conscient ou inconscient, ne l’habite pas. Le pensant d’aujourd’hui ne peut pas se penser non pensant demain. S’il rejette le Dieu révélé il va se jeter dans l’ésotérisme. Reste l’autre notion de Dieu
Ceci est une première approche qui règle déjà bien des interrogations relevées à la lecture de votre texte – admirable au demeurant. On pourrait s’en tenir là pour l’instant ?
Quant à la Bible, de quelle Bible parlez-vous ? Car là aussi il y a matière à discussion. La Parole révélée a tellement été interprétée qu’on ne sait plus à quel saint se vouer ! J’en possède plusieurs et si nous devons continuer ce dialogue, puis-je vous proposer comme référence biblique, la Bible de Jérusalem ? Sinon laquelle et pourquoi ? Merci.
Fin du message avec Pétunia, suite au sien sur le sujet.
J’ai dit plus haut qu’elle n’avait pas dû comprendre le moindre mot, et je vous en laisse juge à la lecture du post qu’elle m’adressa le même jour, dans la foulée :
Coriolan, c'est super de venir échanger avec nous.
Si ça ne te dérrange (sic) pas, j'aimerais te demander si honnêtement tu n'aurais pas été découragé dans cette recherche de Dieu, et si il n'y a pas de la colère, ça me fait penser au verset : " Celui qui ne croit pas au Fils n’a pas la vie mais la colère de Dieu demeure sur lui ".
je saisis une frustration, comme une forme de révolte envers Dieu qui reste silencieux comme tu le dis face à ta recherche, et que cette solitude de ne pas être reconnu par Lui te montre une vie pragmatique, terre à terre et sans trop d'intérêt...me trompe-je?
Après lecture de tes réponses, j'ai remarqué que tu plaçais l'homme au centre de la question, comme si le reste allait forcément en connexion vers lui, ou lui vers les autres, mais toujours en étant dans un système qui évolue et lui au milieu de l'existance (sic) même de la question...alors qu'en fait, c'est tout l'inverse.
Dieu nous révèle que c'est Lui qui est au centre et non l'homme, et que l'homme n'est qu'un des éléments en relation avec Lui sur terre.
Si tu remarques ça donne deux approches différentes. Celle où l'homme est au centre, l'homme est en constance recherche, et va et viens , situé au milieu d'un cercle, pour aller capté (sic)les éléments dont il a besoin pour vivre, survivre, ou améliorer son quotidien, ou améliorer son environnement...l'autre situation, est celle où Dieu est au centre, et l'homme n'est qu'une des parties extérieurs au cercle relié à Dieu et relié à Lui, dépendant de Lui, sans se soucier de sa condition personnel (sic), ni de la place qu'il a dans le cercle, dans l'environnement, dans le milieu auquel il vit...il fait la volonté de Dieu, sans se soucier de sa propre condition car il y a une total (sic) confiance en Lui, qui lui permet de vivre sans jamais être dans le contrôle.
Une prière me vient à l'Esprit, celle qui me parle beaucoup quand je me demande pourquoi je vis :
Seigneur, fais de moi un instrument de paix !
Là où est la haine, que je mette l'amour.
Là où est l'offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l'union.
Là où est l'erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette votre lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
Seigneur, que je ne cherche pas tant à être consolé qu'à consoler, à être compris qu'à comprendre, à être aimé qu'à aimer.
Car c'est en donnant qu'on reçoit,
c'est en s'oubliant qu'on se trouve,
c'est en pardonnant qu'on est pardonné,
c'est en mourant qu'on ressuscite à l'éternelle Vie.
et voici quelques versets qui pourraient ouvrir des portes :
Malgré toutes nos tentatives à vouloir atteindre la perfection : verset 19 : " Je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas ".
Luc 9 :24 " Celui qui voudra sauver sa vie la perdra et celui qui la perdra à cause de moi la sauvera ".
Ce message était du 12 juillet posté à 19h54, le second de la même date, 19h55. Je vous laisse apprécier la célérité ! Et surtout l’à propos. Il faut dire que cette chère Pétunia est une jeunette qui n’a guère dépassé la vingtaine de printemps que de peu.
Mais voyons sa prose…enfin, celle de ses comparses.
Cher Coriolan, j'ai un texte qui pourrait vraiment te parler :
JESUS EST LA VIE
Son trésor spirituel, l’homme l’a perdu ; il est désormais comme une chenille mélancolique qui verrait passer un joli papillon ; lui se délecte du nectar des fleurs, elle doit se contenter des feuilles de choux : lui, vole et virevolte dans l’air, elle est rivée au sol. Mais tout n’est pas perdu pour elle, si elle veut retrouver l’espace aérien, elle devra passer par une expérience que la biologie appelle la métamorphose. Et nous aussi, si nous voulons reconquérir ce qui a été perdu, il nous faudra passer par cette autre métamorphose que la Bible appelle la conversion ou nouvelle naissance.
Lorsque dans l’étang l’œuf de la grenouille se développe, il devient cette drôle de créature grotesque que nous appelons du vilain nom de têtard. Lui, qui dépend entièrement de l’eau pour vivre doit se demander par quelle magie la mère grenouille peut vivre à la fois dans l’air et dans l’eau. Avez-vous déjà imaginé ce que devait penser un têtard – si tant est qu’un têtard pense- en voyant la mère grenouille plonger dans la mare pour venir l’y rejoindre ? Il ne peut pas concevoir qu’il y ait un ailleurs, une autre dimension, un autre élément que le sien. D’où l’entretien que je vous rapporte. Plouf !
- D’où tu viens comme ça, grand-mère ?
- D’En-Haut, tu vois bien, j’en ai encore la peau toute sèche.
- D’En-Haut, d’En-Haut, je n’ai jamais vu moi qu’il y avait un En-Haut.
- Mais si qu’il y en a un puisque j’en viens.
- C’est pas vrai, il n’y a pas d’En-Haut !
- Ah, bien sûr, tu ne peux pas encore comprendre, mais ça viendra, tu verras que j’ai raison.
- Et qu’est-ce qu’il y a là-Haut ?
- Hé bien…, il y a des arbres, des fleurs, de l’herbe…
- C’est pas vrai ! – On connaît l’outrecuidance des jeunes générations, il faut l’excuser…
- Il y a des chevaux, des bœufs…
- C’est quoi ça, des bœufs ?
- Des bœufs, des bœufs, hé bien, ça mange de l’herbe.
- C’est pas vrai !
- Mais si c’est vrai ; d’ailleurs une de nos ancêtres est tombée amoureuse d’un bœuf et pour l’épouser elle a voulu se faire grosse comme lui.
- C’est pas vrai !
- Mais si c’est vrai, c’est même écrit ; ça s’est même passé là-bas, un peu plus haut, du côté de La Fontaine.
- Et quoi qu’y a encore ?
- Il y a de l’herbe, des bœufs, puis des hommes.
- Des hommes ? C’est quoi des hommes ?
- Des hommes, hé bien, c’est pas des bœufs mais ça mange du bœuf.
- C’est pas vrai !
- Pour la dernière fois, sois poli sinon tu va tâter d’une baffe.
- Bof !
- Quand tu seras converti tu comprendras, mais pas avant.
- Dis-moi grand-mère (avec un bémol dans le ton de sa voix),dis-moi, qu’est-ce qu’il y a encore à l’étage au-dessus ?
- Ah, il y a de l’herbe, des bœufs, des hommes et…des Français.
- Des Français ! C’est quoi ça des Français ?
- Les Français, ah, ce sont les meilleurs, les plus délicats, les plus raffinés de tous les hommes ; ce sont les seuls qui aiment les grenouilles…les cuisses de grenouilles.
Du coup notre têtard ne tient plus en place ; il est déjà comme on dirait à moitié converti. Il se dit, ça doit être vrai ; il faut que j’aille voir. Il fait frétiller sa queue, part comme une torpille vers le haut, touche la surface et boit une tasse…une tasse d’air, ce qui le fait redescendre plus vite qu’il n’est monté.
Il se dit : J’ai dû mal m’y prendre : Bis ! Résultat, il boit une deuxième tasse !
Pauvre têtard, malgré sa bonne volonté toute neuve, il ne peut pas savoir ce que la mère grenouille sait pourtant être vrai. Pourquoi ? Parce qu’il n’est pas encore converti, c’est-à-dire métamorphosé, ou mieux encore " né de nouveau " comme le dit Jésus.
Quelqu’un se reconnaît peut-être dans cette histoire un peu loufoque.
Vous avez connu de vrais chrétiens et vous avez vite compris qu’il y avait un " plus " dans leur vie, un plus qui venait de plus haut. Ils vous ont parlé d’un livre auquel ils faisaient toujours référence et vous avez voulu mettre le nez dans la Bible. Peine perdue, c’était du chinois, la vraie bouteille à encre ; vous n’y avez rien pigé.
Vous avez assisté à l’une ou l’autre de leurs " réunions " comme ils disent. La simplicité des lieux, l’ambiance sereine et la musique un tantinet rétro vous a fait dire : Merci, très peu pour moi ! Pourquoi ? La raison est très simple et c’est encore Jésus qui le dit : " Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut ni voir ni entrer dans le Royaume de Dieu ". Et c’est à un Super Têtard que Jésus a dit cela, à un universitaire diplômé devenu prélat qui ne comprenait rien à rien.
Remarquez qu’un têtard peut se plaire dans sa petite eau au milieu de ses épinoches, sangsues et larves en tout genre Mais tant qu’il s’en tient à cela, il reste étranger à une vie supérieure. Une riche dimension de vie lui échappe. Beaucoup de gens s’accommodent de leur petit monde terre à terre qui ne débouche sur rien d’autre que le cimetière à brève, moyenne ou plus ou moins longue échéance. Quand tout se résume à métro-boulot- disco-bobo-dodo, la mare devient vite petite et " y en a vite marre ".
J’affirme qu’il y a autre chose que le train-train quotidien, les coupes d’Europe, la Formule 1, la grisaille du lundi matin, le vague à l’âme et le sentiment de toujours passer à côté de l’essentiel.
Jésus, le seul vrai extra-terrestre est venu de l’étage au-dessus, de l’autre côté de cette vie. Il a prouvé par sa façon de vivre, son enseignement et, ses miracles et beaucoup d’autres choses que c’était vrai, du vrai de vrai.
Mais rester étranger à la vie de Dieu est en plus une dangereuse condition qu’il vaut mieux mettre en règle le plus vite possible parce que la Bible dit : " Celui qui ne croit pas au Fils n’a pas la vie mais la colère de Dieu demeure sur lui ".
La Bible veut dire par là que vie telle que les hommes la conçoivent : respirer, se mouvoir, croître, s’amuser, se nourrir, se loger, ce n’est pas vive, c’est seulement exister. Et exister dans ce sens-là, c’est vivre avec une épée de Damoclès sur sa tête et être sous la condamnation qui pèse sur le péché. Cette vie-là porte une étiquette : condamnée à périr.
Combien n’y-a-t-il pas de millions gens, jeunes ou moins jeunes qui, sans avoir connu l’expérience de la conversion, disent que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Combien de fois ne se sont-ils pas dit : Qu’est-ce que je suis venu faire dans ce monde ?
Nombreux sont ceux qui, pour avoir trop espéré ou trop attendu de la vie, sont en proie à de cruelles désillusions.
Allez toucher du doigt la misère humaine dans les pays du quart-monde où des millions vivent dans des bidonvilles insalubres comme ceux que j’ai visité à Haïti. Leur condition de vie misérable, il l’échangeraient volontiers contre une année de bonheur.
Ah, s’ils pouvaient monter d’un échelon… !
A cet échelon plus haut, on trouve la classe laborieuse de tous ceux qui croient ne pas avoir assez pour vivre et cependant trop pour mourir.
Ah, s’ils pouvaient monter d’un échelon… !
A cet échelon supérieur on trouve la petite bourgeoisie à qui rien n’a manqué. Pour n’avoir jamais été ni trop riche ni trop pauvre, ils n’ont pas été assez pauvre pour être malheureux, mais pas assez riche pour être heureux.
Ah, si eux aussi pouvaient monter d’un échelon… !
A l’échelon tout à fait supérieur on trouve ceux à qui tout à réussi, à qui rien n’a manqué, et qui sont encore eux aussi à la recherche de ce que les autres n’ont pas trouvé. Que de millionnaires malheureux ! Que de pauvres riches comme le disait Bossuet ! Que de Dalida, de Romy, de Momtherlan, d’Hemingway, de Marilyn Monroe et de tant d’autres, comblés au delà de toute mesure, qui eux aussi auraient volontiers échangé leur vie contre une année d’un vrai bonheur qu’ils n’ont finalement trouvé nulle part sinon dans le suicide.
Tous les jours ils ont peiné au mat de Cocagne de la vie. Les promesses de bonheur flottaient bien haut. Quelques très rares concurrents y sont arrivés, mais quand ils ont cru décrocher le prix de leur bonheur, ce n’était qu’une farce ! Leur dorure c’était du toc, du clinquant, du fer blanc. Le bonheur était plus haut, beaucoup plus haut, il était aux cieux. Alfred de Musset a écrit à ce propos :
Ah, pauvres insensés, misérables cervelles,
Qui de tant de façon avez tout expliqué,
Pour aller jusqu’aux cieux il vous fallait des ailes,
Vous aviez le désir, la foi vous a manqué !
Ceux qui ont trouvé le bonheur ne l’ont pas trouvé dans une existence faite d’abondance matérialiste mais au contraire dans la perte de cet esprit de conquête des jouissances terrestres. Jésus nous dit en Luc 9 :24 " Celui qui voudra sauver sa vie la perdra et celui qui la perdra à cause de moi la sauvera ". Il nous montre par là que pour recevoir la vie qui s’écrit avec un V majuscule, il faut lâcher l’autre, celle qui nous lâchera un jour, ce genre d’existence qui n’est qu’un leurre et qui nous conduit à notre perte.
I. Quand Saul de Tarse s’avança menaçant sur la route de Damas, il fut terrassé par une lumière aveuglante et par une voix, celle du Prince de la vie qui lui disait : " Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? " C’est là que sa vie a basculé. Lui qui avait tout misé sur l’acquisition d’avantages et de titres comme il le rappellera dans en Phil.3 :4-9 dont je vous donne une citation libre : " …moi, circoncis de la race d’Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu né d’Hébreux, c’est-à-dire de pure race, zélé pour la cause, irréprochable quant à la justice…mais ces choses (position, honneurs ,renommée ,titres, amis influences), qui étaient pour moi des gains, je les ai regardées comme une perte en comparaison de l’excellence de Jésus-Christ mon Seigneur, pour lequel j’ai renoncé à tout. Et ces choses que je recherchais autrefois, je les regarde maintenant comme de la boue… "
II. En Luc 7 :36-50, une femme sensuelle, vénale, adepte de l’amour libre, prostituée sortie des bouges de l’orgie est venue se mettre aux pieds de Jésus. Cette existence qu’elle menait jusqu’ici, était-ce vivre ? Regardez ce qu’elle en pense à présent. Elle s’agenouille aux pieds de Jésus, mouille ses pieds de ses larmes, les baise et y répand du parfum. Elle se sépare de son passé, elle perd volontairement l’argent que lui rapportait ses " passes ", et elle trouve dans l’apparente austérité de Jésus, une abondance de vie et une paix de l’âme inconnues d’elle jusqu’ici.
III. En Matthieu 9 on trouve un certain Lévi assis au bureau des Impôts. Était-ce vivre vraiment que cette existence tout entière dominée par la cupidité, passée à tromper les contribuables, à brasser les pièces d’argent et à les entendre tinter dans ses coffres, à discuter âprement à longueur de journées pour une question de gros sous. Et voilà que sans prévenir, le Sauveur traverse sa vie, et tel l’éclair qui sillonne le ciel noir et l’illumine, l’appel le plus bref de toute la Bible lui est adressé : " SUIS-MOI ! " Deux mots ont suffi pour que Matthieu, alias Lévi, boucle sa vie passée dans ses coffres et découvre une nouvelle vie à la suite de celui qui n’avait à lui offrir ni or ni argent, ni aucune autre richesse que celle du cœur et de la vie éternelle.
IV. En Jean 3, on trouve un docteur de la loi, professeur de religion qui vient trouver Jésus de nuit. Etait-ce vivre vraiment que d’enseigner des préceptes aussi froids que moralisateurs. Jésus avait fait le cinglant reproche à ceux de sa compagnie : " Vous chargez les hommes de fardeaux difficiles à porter que vous ne touchez pas vous-mêmes de l’un de vos doigts " (Luc 11 :46). Et c’est à lui en particulier, à Nicodème, moins hypocrite que les autres que Jésus a dit : " Il te faut naître de nouveau ". Il te faut, Nicodème, une nouvelle vie qui vient de plus haut que de ta chaire de vérité d’où tu pérore sans savoir de quoi tu parles. Et Nicodème à fini lui aussi par déposer ses sermons creux au sépulcre du Seigneur en qui il avait reconnu le docteur venu de Dieu pour avoir désormais quelque chose à dire qui enfin venait d’En-Haut.
V. Etait-ce vivre vraiment que cette existence que je menais autrefois dans les vanité du monde et ses plaisirs trompeurs que la Bible appelle des citernes crevassées qui ne retiennent pas l’eau ? Cette existence en rase-mottes, menacée du jugement de Dieu, je l’ai laissée entre les mains percées de Jésus-Christ afin que, comme il l’a promis, il la bannisse à tout jamais de sa mémoire. Pour rien au monde je ne voudrais la reprendre et la revivre, ne serait qu’une journée, parce que pendant cette journée je pourrais mourir et être perdu. Et cette existence sur laquelle Dieu a déjà passé sa condamnation, Jésus vous appelle à la laisser comme l’ont fait Lévi, Nicodème et Saul de Tarse dont j’ai parlé pour saisir celle qu’il vous offre. Car la vie, dans le plein sens du terme, il ne pourra vous la donner que lorsque vous aurez consenti de plein gré à abandonner l’autre. Cette vie qu’il vous offre en échange de l’autre est aussi différente que la vie de la mère grenouille est différente de celle du têtard, que celle du papillon l’est de celle de la chenille, aussi différente que la candeur l’est du vice, l’artiste du profane, le printemps de l’hiver.
Cette existence dont il veut vous détourner, il l’a portée sur le bois maudit de la Croix. Là, la colère du jugement de Dieu est tombé sur elle, par conséquent sur lui. Cette existence dont il s’était revêtu dans ce jour tragique, pour bien nous prouver qu’elle ne valait rien, elle lui a coûté une suée qui a été jusqu’au sang, une tristesse qui à été jusqu’à la mort et une mort qui a été jusqu’à l’enfer de l’abandon.
Cette autre vie qu’il vous offre en échange, c’est la vie qui l’a sorti de la mort où nos péchés l’avaient plongé ; C’est cette vie merveilleuse qui a fait jaillir des lèvres de Marie de Magdala extasiée : Maître, Rabboni ! C’est celle qui a rempli les disciples de joie ; c’est cette vie qui sort du trou, tellement glorieuse que pendant quelques jours, l’apôtre Thomas n’arrivait pas à y croire. C’est cette vie de résurrection de Jésus-Christ qui devient la possession des pécheurs repentants.
Ce qui rend une conversion authentique, ce sont les deux phases distinctes et néanmoins inséparables qui la composent
1° Il y a l’abandon de l’existence passée, c’est la repentance ; 2° Il y a la réception de la vie de Jésus-Christ ressuscité, c’est la foi.
Certains voudraient dissocier ces deux éléments. Je m’explique. Conversion veut dire demi-tour. L’idée de certains est celle d’un sergent-major faisant évoluer son peloton et disant : 1-2, 1-2, demi-tour, Halte !
Mais l’idée de l’Ecriture est tout autre, c’est :1-2, 1-2, demi-tour, Marche !
La vie chrétienne n’est pas qu’une halte, elle n’est pas qu’une confession de foi négative. Si je n’accepte pas le " Marche ", est-ce que je peux me dire converti ? Certes il y a un stop et parfois même une marche arrière quant au passé, mais il y a aussi un Go ! un Avanti ! un En-avant toute ! quand au présent.
Imaginez-vous Saul de Tarse, arrêté par le Seigneur sur la route de Damas et lui disant : D’accord Seigneur, je capitule, je te rends mon épée et mes lettres de plein pouvoir, laisse-moi rentrer tranquillement chez mon papa à Tarse ? !
Imagineriez-vous cet ardent combattant de la foi écrivant dans son épître aux Thessaloniciens : " Vous vous êtes convertis à Dieu en abandonnant les idoles… " et ne terminant pas sa phrase "…pour servir le Dieu vivant et vrai " ? Impensable !
Imagineriez-vous le même apôtre Paul enseignant la doctrine du baptême dans le chapitre 6 :4 aux Romains et écrivant : " Nous avons été ensevelis avec Christ par le baptême, à la ressemblance de sa mort" sans ajouter la deuxième phase du baptême "…afin que, à la ressemblance de sa résurrection, nous marchions en nouveauté de vie…".
On sait que le baptême biblique selon le sens étymologique du mot veut dire : Immerger, plonger. C’est ce que faisait Jean-Baptiste dont il est dit en Jean 3 :23 " qu’il baptisait à Enon parce qu’il y avait là beaucoup d’eau ". Pour baptiser il fallait donc assez d’eau pour y plonger les gens jusqu’à les immerger. Celui qui se faisait baptiser sous cette forme symbolique exprimait deux choses :
1 : qu’en descendant entièrement dans l’eau, à la ressemblance de Christ descendu dans la mort pour le péché, lui aussi en se convertissant mourrait à son ancienne vie de péché.
2 : qu’en ressortant de l’eau il exprimait par là, qu’à la ressemblance du Christ ressuscité, lui aussi sortait du péché pour revivre en nouveauté de vie. Gardant à l’esprit ces deux facettes du baptême, la mort d’une part et la résurrection de l’autre, QUI, je vous le demande en se faisant baptiser se risquerait à ce qu’on ne fasse que la moitié de la cérémonie : le maintenir sous l’eau et l’empêcher d’en sortir ?! Deux minutes plus tard ce serait le prélude à une autre cérémonie, celle d’un enterrement pur et simple.
L’apôtre Paul, pour en revenir à lui, n’a pas seulement laissé sa vie passée sur le chemin de Damas, il a saisi la vie que lui offrait le Seigneur et s’en est laissé pénétrer. C’est ce qu’il dit d’une autre façon en Galates 2 :20. Il dira bien : " J’ai été crucifié avec Christ " mais il ne s’arrête pas là, il poursuit : " …et si je vis, ce n’est plus moi qui vit, c’est Christ qui vite en moi. Et la vie que je vis maintenant dans mon corps, je la vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi ".
Matthieu n’a pas seulement quitté son bureau de recettes, il a mis sa plume à la disposition du Saint Esprit qui lui a fait écrire l’évangile qui porte son nom.
Si vous voulez être sauvé sans qu’il y ait le moindre doute, il faut vous soumettre aux conditions de l’Ecriture : Abandonner votre existence passée dans la repentance, et saisir par la foi celle que Jésus vous offre, cette autre qualité de vie dont lui même a parlé en disant : " Je suis venu pour que mes brebis aient la vie et qu’elles l’aient en abondance " (Jean 10 :10).
Si vous voulez qu’un arbre sauvage porte du bon fruit il faut le greffer. De même, pour que nos vies portent du fruit qui plaise à Dieu, il faut que Christ vienne greffer sa vie sur la nôtre. Sans cette greffe spirituelle que Jésus appelle la nouvelle naissance, les seuls fruits que nous pouvons porter sont des fruits sauvages qu’à deux reprises la Bible appelle des œuvres mortes (Héb.6 :1 et 9 :14).
Voici ce que dit le dictionnaire à propos de la greffe : " Le greffon apporte au sujet les caractères que l’on veut conserver. C’est ainsi que l’on greffe de bonnes espèces sur un arbre sauvage qui autrement ne donnerait que du mauvais fruit ". Vous pouvez mettre tant et plus d’engrais ou de fumier à un arbre sauvage, vous pouvez le tailler, vous pouvez le replanter dans un meilleur sol, le seul résultat auquel vous arriverez, c’est de produire plus de fruit mais plus de fruit…sauvage !
Vous pouvez tout essayer pour transformer votre vie, vos sentiments et vos pensées, prendre des bonnes résolutions, désirer vivre une vie conforme à l’exemple de Christ, faire des neuvaines et réciter des Pater, supplier Dieu de vous donner des victoires sur vous-mêmes, vous n’arriverez qu’à produire davantage d’œuvres mais d’œuvres mortes en ce qui concerne le salut.
Non, considérez combien une greffe minuscule peut transformer la vie d’un grand arbre ; pensez à ce qui arrivera quand la Vie d’un si grand Sauveur viendra se greffer sur une aussi petite vie que la nôtre.
Dieu est l’horticulteur divin ;
Christ est la greffe divine ;
Vous, vous êtes le sujet humain en qui il veut implanter la vie éternelle par le Saint Esprit qu’il fera habiter en vous.
Une vie ainsi greffée ne peut que porter ce que l’épître aux Galates (5 :22) appelle le fruit de l’Esprit composé des 9 variétés que voici : l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la maîtrise de soi.
Dieu consent à mettre la vie de son Fils dans la vôtre. Voulez-vous vous laisser greffer par lui ?
Si oui, ouvrez-vous à son intervention. Recueillons-nous tous un instant et dans ce moment de prière finale, adressez-vous à lui. Et si vous aviez de la peine a trouver les mots qu’il faut, je peux essayer de vous aider. Je parlerai très lentement et si ce que je vais dire vous convient vous pouvez suivre cette prière et la dire silencieusement à Dieu comme si elle était la votre : Seigneur, j’ai compris ce soir que ma vie spirituelle était plus au fond de la mare avec les têtards que dans les altitudes avec les anges. Si ça continue, je n’ai aucune chance d’aboutir dans ton ciel. J’ai bien essayé de changer de vie mais sans résultat. Parfois j’ai l’impression que je deviens pire… Je n’arrive à rien malgré mes efforts ; je tourne en rond. Je suis fatigué de moi-même ce soir… J’ai compris que je devais me repentir et je le fais sans hésiter. Je capitule devant toi ; je te demande pardon ; Dieu, je crois que ton Fils, pour me sauver est descendu non seulement dans ma mare mais dans la boue de ma mare de vie et qu’il en est mort, condamné à ma place, mais je crois aussi qu’il est venu pour m’en sortir. Seigneur, viens greffer la vie de ton Fils dans la mienne. Je m’ouvre à toi, à l’action de ton Saint Esprit. Merci Seigneur. Amen.
iHé DD ! Tu as tout lu ? Courgeux le mec ! Et dire que ce laïus de pieusetés est censé répondre à ma quête ontologique sur l'existence de Dieu !!!
Le soir même, laborieux 12 juillet, nous eûmes l'échange suivant ::
le 12/07/2010 à 19:54:25, petunia a dit :
Coriolan, c'est super de venir échanger avec nous.
Chère Pétunia, ce qui serait super, c'est que nous échangions ! Hélas pour l'instant je ne vois aucun raisonnement personnel et tu me submerges d'actes de foi qui ne reposent sur rien de concret. Tu ne réponds pas à mon texte qui pourtant répond point par point au tien.
Si ça ne te dérrange pas, j'aimerais te demander si honnêtement tu n'aurais pas été découragé dans cette recherche de Dieu
Pas du tout,en revanche je crains de décourager mes interlocuteurs en leur demandant de développer leurs idées. La foi repose sur une croyance ; parlons d'abord de cette croyance.
Après lecture de tes réponses, j'ai remarqué que tu plaçais l'homme au centre de la question, comme si le reste allait forcément en connexion vers lui, ou lui vers les autres, mais toujours en étant dans un système qui évolue et lui au milieu de l'existance même de la question.
L'homme et ce qui l'entoure est la seule certitude que j'aie. Dieu peut tout aussi bien n'être qu'une élucubration humaine. Je ne peux appuyer tout raisonnement solide que sur une base solide,visible et crédible : l'HOMME.
C'est alors qu'on me dit qu'il y a Dieu et que mon raisonnement est faux. Je le veux bien mais en partant de l'homme, ce Dieu peut être révélé.Pour moi il doit l'être ou alors il n'est rien qu'un concept philosophique...
Le reste de ton texte manque de conviction dès lors qu'il est contestable. Et hélas, il l'est gravement.
Excuse-moi.
C’est alors que l’Admin. s’en est mêlé dès le 13 juillet et que la voix de Pétunia se fit enfin de plus en plus rare ; pour ce qu’elle avait à dire, la pauvre chérie !
C’est tout pour ce jour d’hui, la suite à demain si le Dieu de Pétunia le veut bien.
POUR TOUTE REPONSE A CETTE TRIBUNE, UTILISER LE FORUM CI-DESSUS "VOX POPULI" en rappelant le titre "CHRISTIEN BIBLIQUE"
(1) Pour ceux qui l’ignoreraient encore, 65 ans de tabagisme ont eu raison de la saine nature et m’ont valu l’amputation de la jambe gauche. Depuis, je me lève toujours du pied droit et on ne peut plus dire que j’ai les deux pieds dans le même sabot.
(2) Hé, oui ! Comme nous, il y a un certain temps, ces braves gens furent obligés de prendre des sanctions à l’égard d’intervenants indésirables. Bref, c’est sur ce forum antérieur dont il ne reste plus trace, que paru, sous la plume d’une dénommée ‘Pétunia’ le texte de Pierre Oddon dont il est question plus haut.
Allons lentement, nous sommes pressés !